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Projet d'Éco quartier à Noisy le Grand

Publié le par ADIHBH-V

L’ECO QUARTIER


DE L’ÎLE DE LA MARNE


EN PROJET
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Projet d'Éco quartier à Noisy le Grand

Le 9 juin dernier, les noiséens étaient invités à participer à la réunion publique sur ce projet d'aménagement situé en bord de Marne.

En abandonnant le projet égocentrique de Port de plaisance de l’ex édile Michel PAJON qui n’avait aucun avenir économique, l’actuelle équipe municipale de Brigitte MARSIGNY n’en a pas moins réfléchi à la meilleure façon d’aménager l’espace qui devait accueillir ce qu’on surnommait parfois la Marina.
La Ville souhaite y aménager l’Eco-quartier, « l'Île de la Marne ».
Lors de la réunion publique organisée le 9 juin dernier, des ateliers thématiques ont été mis en place pour travailler avec les habitants sur ce projet qui pourrait voir le jour dès 2019.

Pour en savoir plus, téléchargez en ligne le document de présentation  du projet « Île de la Marne ».


Montage diaporama
(5 fichiers en .pdf)

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Exposé oral du bureau d’étude.

(6 fichiers en .mp3)

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Pour mémoire, retour sur la réunion du publique du 16 octobre 2014

Cliquer sur : Projet d’aménagement du secteur de la Rive Charmante à Noisy-le-Grand

« Extrait »

C’est bien sous le charme d’un exposé rêveur qu’ont failli succomber les noiséens qui étaient venus en cette soirée du 16 octobre 2014, à la première réunion publique de concertation sur l’aménagement stratégique (dixit Michel PAJON) de la Rive Charmante, situé aux Portes de la Ville.

De mémoire, un riverain, certes  très peu marin mais terre à terre et audacieux s’était hasardé à poser la question qui fâche. 
En un mot dit-il, j’aimerai bien savoir combien de logements seront construits en cet endroit ? Mais la question a été jugée impertinente, et l’impétrant s’est fait vilipender par l’Economiste et Capitaine au long cours: « pour qui nous prenez-vous, sommes-nous de piètres gestionnaires, ….Nous sommes fiers de ce que nous avons déjà  fait !!! ».
Toute la salle plonge au fond de la cale, silence dans les coursives, la brume retombe… Michel Pajon se refuse à répondre.

Néanmoins, ultérieurement, l’ex Maire, poussé dans ses retranchements fut contraint d’avouer vaguement qu’il faudra entre 500, 700 ou 900 logements pour équilibrer le bilan.

Le 09 juin dernier, Michel PAJON et Emmanuel CONSTANT qui ne reculent jamais devant aucun sacrifice en réunion publique, ont posé sensiblement la même question à Brigitte MARSIGNY.


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Bilan et photos de la "Fête des cerises" 2016

Publié le par ADIHBH-V

CELA S’EST PASSÉ


SUR LES BAS HEURTS


LE SAMEDI 11 JUIN 2016
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Bilan et photos de la "Fête des cerises" 2016

Ce samedi 11 juin 2016, pour notre 12e édition de la Fête des Cerises de l’Association ADIHBH-V, nous attendions quelques averses.
Elles furent au rendez-vous, mais bon, l’esprit fédérateur du « vivre ensemble » a pris le dessus grâce au groupe folklorique Guadeloupéen Larel Mas Mélé de Garges-lès-Gonesse qui a diffusé gaieté et bonne humeur.

Cette année, la notion du « vivre ensemble » sur le quartier des Bas Heurts (nous ne parlons plus du Clos aux Biches) avait une saveur particulière, puisque la nouvelle municipalité issue des urnes de septembre 2015 a expédié aux oubliettes le projet urbicide de l’ex édile Michel PAJON (PS) qui avait pour but de chasser les habitants pour seulement livrer le foncier aux seuls intérêts particulier de la promotion immobilière.
Aujourd’hui, la volonté des habitants à être des acteurs d’un nouveau projet d’aménagement et la recherche d’un compromis dans un projet d’inflexion avec l’Architecte Christian DEVILLERS est prise en compte par le Maire Brigitte MARSIGNY.
Nous y travaillons…

Alors, si notre quartier symbolise le « mieux vivre ensemble » et la convivialité intergénérationnelle en offrant à chaque visiteurs quelques cerises dès leur arrivée, c’est la bravoure et l’ardeur des habitants des Bas Heurts de Noisy-le-Grand et d’autres amis du quartier voisin de La Garenne de Bry-sur-Marne qui fournissent l’huile de coude pour alimenter la machine  de cette belle journée festive.

 

Bilan et photos de la "Fête des cerises" 2016

Si l’après midi fut rythmée par un authentique folklore Guadeloupéen, nos babines furent alimentées par de délicieux  gâteaux à la Cerise ou à la noix de coco, des crêpes Bretonnes et des confitures.
Mais malheureusement pour les plus petits, cette année pas de Barbe à Papa, puisque le conducteur de la machine était ailleurs !

 

Bilan et photos de la "Fête des cerises" 2016

Enfin, l’atelier de travaux manuels, les jeux, le maquillage arc en ciel des petites frimousses, le panier garni des gourmands, et la brocante pour les chineurs ont rencontré un vif succès.

Bilan et photos de la "Fête des cerises" 2016

Les festivités se sont terminées vers 18h30 avec un somptueux lâcher de ballons et une non moins traditionnelle loterie très richement dotée comme chaque année (baptêmes de l’air, croisières avec repas en bateau mouche sur la Seine, places de Théâtre, etc…) grâce à la générosité de nombreux et sympathiques commerçants et entreprises de Noisy-le-Grand et Bry-sur-Marne ou d’ailleurs.

Retrouver les photos en cliquant ici

Après toute cette débauche d’énergie des « abeilles ouvrières », tard dans la soirée, un « repas voisin » réparateur a clôturé cette douzième Fête des Cerises dans l’impasse privé des Aulnettes.


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Quel bilan pour les "Conseils Citoyens" ?

Publié le par ADIHBH-V

ENQUÊTE ET TEMOIGNAGES :

LES CONSEILS CITOYENS

VUS PAR LES ASSOCIATIONS

ET LES HABITANTS.
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Quel bilan pour les "Conseils Citoyens" ?

Quel regard les acteurs associatifs et les habitants portent-ils sur les conseils citoyens dont ils sont membres ?
Sur la base d'une enquête et de témoignages, des échanges animés le 10 juin par l'Institut de la concertation et la coordination "Pas sans nous" ont fait ressortir des approches assez contrastées, quelques motifs de satisfaction et encore beaucoup de défis à relever.
Sur le droit d'interpellation et les moyens attribués aux conseils, l'Inter réseaux des professionnels du développement social urbain propose trois amendements au projet de loi Egalité et Citoyenneté.


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Plus de deux ans après la loi Lamy ayant institué le principe de "co-construction" de la politique de la ville "avec les habitants, les associations et les acteurs économiques", où en sont les conseils citoyens ?

Pour établir leur propre bilan, l'Institut de la concertation et la coordination "Pas sans nous" se sont intéressés au regard de ceux qui font vivre ces conseils, les habitants et les représentants associatifs, à travers une enquête menée entre février et mai 2016 puis une journée d'échanges qui s'est tenue le 10 juin 2016.

Sur la base de 200 réponses, dont 34% de conseillers citoyens du collège "acteurs-associations" et 24% de conseillers "habitants" , cette enquête nous renseigne sur la réalité des conseils effective dans 52% des cas et sur les modalités de leur fonctionnement.
En moyenne, les conseils citoyens (CC) sont composés de 25 membres ; la plupart ont toutefois 16 à 20 membres, la moyenne étant "tirée vers le haut par quelques CC qui n'ont pas fixé de limites", avec parfois plus de 100 membres.

La majorité des CC sont composés d'au moins 50% d'habitants ; les conseillers "acteurs" sont moins nombreux - le plus souvent entre 20 et 50% d'acteurs associatifs et assez peu d'acteurs économiques.

Dans l'échantillon de l'enquête, les CC sont d'abord animés par la collectivité (58%) parfois même avec la présence d'élus -, puis par une association locale (12%) ou un groupe de travail ad hoc incluant acteurs et/ou habitants (10%).

Le budget alloué aux CC est faible (le plus souvent inférieur à 3.000 euros) ou inexistant, notamment dans les cas où ce sont des agents de collectivité qui assurent l'animation. Il dépasse parfois les 5.000 euros, en particulier lorsqu'un intervenant extérieur a été mandaté pour accompagner le CC.

Faire le deuil d'une réelle autonomie des conseils citoyens ?

"Les membres habitants et les membres acteurs estiment en priorité que leur conseil citoyen n'est pas indépendant."

À Toulouse, le pilotage municipal, le manque d'informations et de moyens ou encore le temps passé à structurer les conseils en associations ont provoqué une "démobilisation" chez les habitants, estime Nicky Tremblay, vice-présidente de "Pas sans nous".
La coordination a fait pression pour que des ajustements soient opérés, avec quelques petites victoires telles que l'adoption d'un avenant au contrat de ville prévoyant des plans opérationnels pour chaque territoire.

Les militants associatifs misent parallèlement sur le développement des tables de quartier, un format de participation des habitants qui avait été préconisé dans le rapport Bacqué-Mechmache de 2013.

Actuellement, douze tables de quartier sont financées dans le cadre de la bourse nationale d'expérimentation pour la participation des habitants, mais ces démarches ont fait "plein de petits", selon Mohamed Mechmache, président de la coordination "Pas sans nous", qui appelle à "ne pas opposer" conseils citoyens et tables de quartier.
Ces dernières, pas forcément perçues d'un très bon œil par les pouvoirs publics, favoriseraient davantage d'autonomie, d'ouverture et de prise en compte des préoccupations réelles des habitants.
En l'occurrence, dans le cas du quartier de Bagatelle à Toulouse, le logement, les discriminations et l'éducation.

Partir des "thèmes qui intéressent les habitants" et "se faire connaître"

Quel bilan pour les "Conseils Citoyens" ?

Selon l'enquête, les thématiques les plus abordées jusqu'à présent lors des réunions des CC sont le voisinage et la convivialité, la sécurité, l'accès à l'emploi, l'urbanisme, la qualité des logement et la réussite scolaire.

À Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), le conseil citoyen du centre-ville a ainsi organisé un événement sur l'éducation, la santé et l'accès aux loisirs.
Accompagné par l'association "Couleurs d'avenir" et constitué en association, le CC a pour objectif de partir des "thèmes qui intéressent les habitants" et de "se faire connaître", témoigne Monica, membre habitante du conseil.
Quant à la participation du CC au pilotage du contrat de ville, la municipalité entend la favoriser progressivement, à travers des groupes de travail thématiques associant des élus de la ville, des agents et des habitants.
Sur le rôle de ces conseils vis-à-vis du contrat de ville, deux résultats de l'enquête démontrent qu'il est encore faible : une minorité de CC (12%) aurait participé à la rédaction du contrat de ville et 37% des conseils participeraient à des réunions de pilotage de la politique de la ville.
Pour expliquer ce manque d'articulation, les auteurs de l'enquête évoquent les horaires souvent inadaptés des réunions ou encore le "statut d'expert ambigu" des habitants membres du conseil.

Fédérer les conseils citoyens d'un territoire pour peser davantage

À Angers, des représentants des CC ont été intégrés tardivement au comité de pilotage du contrat de ville et y occupent actuellement une position de "spectateur", selon Djamel Blanchard, de la coordination "Pas sans nous".
Pour parler d'une seule voix et peser ainsi davantage dans le processus, les sept conseils citoyens d'Angers se réunissent désormais en "inter-conseils citoyens".
 
Entre les témoignages des membres de "Pas sans nous" et ceux des habitants qui bénéficient d'un accompagnement commandité par la collectivité, deux approches des conseils citoyens semblent se dessiner : celle, plus politique, du rapport de force et celle d'un partenariat plus institutionnalisé.

Bien que progressif et partiel, ce dernier semble porter ses fruits lorsque, comme dans le centre-ville d'Epinay-sur-Seine, les habitants ont le sentiment d'être pris en considération.

À l'inverse, plus de 30% des répondants à l'enquête estiment que les élus et agents des collectivités "ont essayé de bloquer le développement" du conseil ou l'ont tout simplement ignoré. 
De l'avis de la sociologue Marie-Hélène Bacqué, "la réforme radicale de la politique de la ville n'a pas eu lieu".

La coordination "Pas sans nous" entend pourtant continuer à tenter d'influencer la mise en œuvre des conseils citoyens.
Pour Mohamed Mechmache, malgré les résistances observées chez de nombreux élus, "un outil s'est créé, c'est une brèche, il faut l'utiliser".
Tout en plaidant pour le financement d'autres formes de participation, moins pilotées d'en haut, via un fonds d'initiative citoyenne.

Une campagne sera menée en septembre sur le sujet par la coordination "Pas sans nous", qui souhaite interpeller les candidats aux élections présidentielles.

Caroline Megglé

 

Contribution bibliographique :
-  
 Localtis.info, le 14/06/2016 – Caroline MEGGLE


-    Rapport BACQUE – MECHMACHE : « Ca ne se fera plus sans nous ». Citoyenneté et pouvoir d’agir dans les quartiers populaires.

 

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RICARDO BOFILL à Noisy le Grand

Publié le par ADIHBH-V

RICARDO BOFILL


AUX ESPACES D’ABRAXAS

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RICARDO BOFILL  à Noisy le Grand

Le 17 mai 2016, la venue à Noisy-le-Grand de l’Architecte Ricardo BOFFILL, concepteur des Espaces d’Abraxas, a été l’occasion d’annoncer un nouveau projet urbain pour le quartier du Mont d’Est.

Ricardo BOFFILL a pu rencontrer la nouvelle équipe municipale de Brigitte MARSIGNY, les deux bailleurs sociaux, Efidis et Domaxis, les syndics de copropriété et aussi les nombreux  habitants.

Ricardo BOFILL a donc à cœur de revaloriser l’ensemble architectural et de faire en sorte que ses habitants se le réapproprient mais aussi que le lieu retrouve son esprit original.


Beaucoup avaient depuis 20 ans le sentiment d’avoir été abandonnés par l’ex édile Michel PAJON et sa bande.
Rien ne sera démoli…Ouf, quel soulagement !

Avec la proximité du Lycée Collège International, du quartier de Maille Horizon en construction, et des Bas Heurts, nul doute que les Espaces d’Abraxas et ses environs deviendront la nouvelle vitrine de l’Est Noiséen.

Ce 17 mai, Le Vrai Journal de Noisy-le-Grand n’a pu assister à la réunion publique de la soirée.
En conséquence nous sommes à la recherche d’un enregistrement vidéo ou audio.
Merci d’avance à toute personne qui pourrait nous aider. Nous contacter par la messagerie du blog.


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